זה חליפתי – זה כפרתי
Au centre de la carte postale, on voit un petit garçon habillé élégamment chevauchant un grand coq coloré. Le garçon tient une pancarte "Voici mon remplaçant, mon expiation". En arrière-plan une rue de la ville, des maisons d'habitation et une citerne. Au-dessus de la tête de l'enfant, un texte de quatre lignes avec une demande à Dieu d'inscrire l'enfant espiègle, qui accomplit les mitsvot des Kapparot, dans le Livre de la Vie. Au bas de l'image se trouve le souhait du début d'année: "Soyez inscrits pour une bonne année." La pratique de l'expiation est généralement effectuée à la veille de Yom Kippour avec un coq ou de l'argent. La personne demande que le coq ou l'argent qu'il fait tourner trois fois sur sa tête soit son expiation. Le coq mourra, l'argent sera donné à la charité, et en retour, la personne aura une bonne vie et la paix. Dans cette carte postale, l'enfant chevauche le coq et ne le tourne pas au desssus de sa tête. La pratique de l'expiation suscitait dejà des controverses au Moyen-Âge, et certains rabbins s'y opposaient, comme le Ramban et le rabbin Yosef Karo. Aujourd'hui, la question suscite également l'opposition des organisations de défense des animaux.
Ce petit garçon espiègle rappelle l'expression « Banim shovevim » (les "vilains" enfants) qui apparaît dans le livre de Jérémie à propos de la Téchouva, du repentir.
« Les vilains enfants » est un surnom pour le peuple d'Israël qui est appelé à retourner à Dieu.
La coutume selon laquelle les Juifs s'envoyaient des cartes de vœux pour le Nouvel An a probablement déjà commencé au Moyen Âge. Les lettres ont changé de forme au fil des ans et constituent une source historique intéressante et importante pour l'étude des communautés et des coutumes juives.
זה חליפתי – זה כפרתי
Au centre de la carte postale, on voit un petit garçon habillé élégamment chevauchant un grand coq coloré. Le garçon tient une pancarte "Voici mon remplaçant, mon expiation". En arrière-plan une rue de la ville, des maisons d'habitation et une citerne. Au-dessus de la tête de l'enfant, un texte de quatre lignes avec une demande à Dieu d'inscrire l'enfant espiègle, qui accomplit les mitsvot des Kapparot, dans le Livre de la Vie. Au bas de l'image se trouve le souhait du début d'année: "Soyez inscrits pour une bonne année." La pratique de l'expiation est généralement effectuée à la veille de Yom Kippour avec un coq ou de l'argent. La personne demande que le coq ou l'argent qu'il fait tourner trois fois sur sa tête soit son expiation. Le coq mourra, l'argent sera donné à la charité, et en retour, la personne aura une bonne vie et la paix. Dans cette carte postale, l'enfant chevauche le coq et ne le tourne pas au desssus de sa tête. La pratique de l'expiation suscitait dejà des controverses au Moyen-Âge, et certains rabbins s'y opposaient, comme le Ramban et le rabbin Yosef Karo. Aujourd'hui, la question suscite également l'opposition des organisations de défense des animaux.
Ce petit garçon espiègle rappelle l'expression « Banim shovevim » (les "vilains" enfants) qui apparaît dans le livre de Jérémie à propos de la Téchouva, du repentir.
« Les vilains enfants » est un surnom pour le peuple d'Israël qui est appelé à retourner à Dieu.
La coutume selon laquelle les Juifs s'envoyaient des cartes de vœux pour le Nouvel An a probablement déjà commencé au Moyen Âge. Les lettres ont changé de forme au fil des ans et constituent une source historique intéressante et importante pour l'étude des communautés et des coutumes juives.
אוסף גלויות היודאיקה ע"ש יוסף ומרגיט הופמן, המרכז לחקר הפולקלור, המכון למדעי היהדות ע"ש מנדל, האוניברסיטה העברית