Journée de la Mémoire, Poster

Retour à la galerie
copy
Copier lien
Copied!
​Cette affiche, réalisée par Tzipi Berak Biyonsky, commémore Yom Hazikaron, le Jour du Souvenir pour les combattants tués pour Israël et pour les victimes du terrorisme. La couleur dominante est le sépia, même si quelques individus sont représentés en noir et blanc. On peut voir une foule d’individus se tenant solennellement dans la célèbre rue piétonne de Jérusalem, Ben Yehouda, pendant que retentit la sirène de Yom Hazikaron. Certaines personnes ont les pieds joints et la tête baissée, d’autres regardent autour d’elles. En bas à gauche, un soldat de Tsahal se tient au garde à vous pendant la sirène, et semble regarder ceux qui observent l’affiche. Si l’image en sépia peut représenter une scène moderne, les images en noir et blanc, quant à elles, rappellent les temps anciens. Berak Biyonsky a peut-être voulu associer deux époques en superposant ces personnages en deux tonalités. En bas à droite de l’affiche, un soldat dessiné en noir et blanc met le drapeau israélien en berne, en souvenir de ceux qui sont tombés. En bas de l’image figure le texte suivant : « Jour du Souvenir pour les combattants tués pour Israël ». En haut de l’affiche, on peut lire une citation de Moché Ibn Ezra, érudit juif de l’époque médiévale : « Que mes yeux s’assombrissent si je ne pleure pas pour lui, que ma main droite m’oublie si je l’oublie.» Le mot hébreu « kavod » (« respect ») est imprimé en caractères gras au-dessus de cette phrase, et dans le ciel passent trois oiseaux, peut-être des colombes symbolisant la paix.
​Cette affiche, réalisée par Tzipi Berak Biyonsky, commémore Yom Hazikaron, le Jour du Souvenir pour les combattants tués pour Israël et pour les victimes du terrorisme. La couleur dominante est le sépia, même si quelques individus sont représentés en noir et blanc. On peut voir une foule d’individus se tenant solennellement dans la célèbre rue piétonne de Jérusalem, Ben Yehouda, pendant que retentit la sirène de Yom Hazikaron. Certaines personnes ont les pieds joints et la tête baissée, d’autres regardent autour d’elles. En bas à gauche, un soldat de Tsahal se tient au garde à vous pendant la sirène, et semble regarder ceux qui observent l’affiche. Si l’image en sépia peut représenter une scène moderne, les images en noir et blanc, quant à elles, rappellent les temps anciens. Berak Biyonsky a peut-être voulu associer deux époques en superposant ces personnages en deux tonalités. En bas à droite de l’affiche, un soldat dessiné en noir et blanc met le drapeau israélien en berne, en souvenir de ceux qui sont tombés. En bas de l’image figure le texte suivant : « Jour du Souvenir pour les combattants tués pour Israël ». En haut de l’affiche, on peut lire une citation de Moché Ibn Ezra, érudit juif de l’époque médiévale : « Que mes yeux s’assombrissent si je ne pleure pas pour lui, que ma main droite m’oublie si je l’oublie.» Le mot hébreu « kavod » (« respect ») est imprimé en caractères gras au-dessus de cette phrase, et dans le ciel passent trois oiseaux, peut-être des colombes symbolisant la paix.
copy
Copied!
Copier lien
Copyrights
Ephemera Collection, The National Library of Israel,Yad Tabenkin