Trois en un - Brochure publicitaire pour la Aliya, 1948

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Ce tract en anglais publié par le gouvernement israélien, était destiné à attirer les nouveaux immigrants des pays anglophones. Il y est annoncé fièrement : « En 1948, nous en avions 125 000 ; en 1949, nous aurons 250 000 Olim ». Diverses images et slogans de propagande expliquent aux Olim (nouveaux immigrants) que l’État a besoin de « mains », et « qu’un Juif israélien sur trois est un "nouvel arrivant" ». En 1948, à la suite de la Déclaration d’Indépendance, le nouvel État d’Israël dut affronter une multitude de problèmes. La Guerre d’Indépendance n’allait officiellement se terminer qu’en 1949, et l’État naissant faisait face à une vague de réfugiés en provenance d’Europe et des pays arabes. La jeune nation avait du mal à subvenir aux besoins quotidiens de ses citoyens, et déploya donc de grands efforts pour attirer de nouveaux immigrants qui puissent contribuer au développement de l’agriculture, de la technologie, et des infrastructures. Israël attendait particulièrement du renfort de la part des pays anglophones, notamment des États-Unis, du Royaume-Uni et de l’Afrique du Sud.
Ce tract en anglais publié par le gouvernement israélien, était destiné à attirer les nouveaux immigrants des pays anglophones. Il y est annoncé fièrement : « En 1948, nous en avions 125 000 ; en 1949, nous aurons 250 000 Olim ». Diverses images et slogans de propagande expliquent aux Olim (nouveaux immigrants) que l’État a besoin de « mains », et « qu’un Juif israélien sur trois est un "nouvel arrivant" ». En 1948, à la suite de la Déclaration d’Indépendance, le nouvel État d’Israël dut affronter une multitude de problèmes. La Guerre d’Indépendance n’allait officiellement se terminer qu’en 1949, et l’État naissant faisait face à une vague de réfugiés en provenance d’Europe et des pays arabes. La jeune nation avait du mal à subvenir aux besoins quotidiens de ses citoyens, et déploya donc de grands efforts pour attirer de nouveaux immigrants qui puissent contribuer au développement de l’agriculture, de la technologie, et des infrastructures. Israël attendait particulièrement du renfort de la part des pays anglophones, notamment des États-Unis, du Royaume-Uni et de l’Afrique du Sud.
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Ephemera Collection, The National Library of Israel